En fouillant un peu sur internet, je suis tombée sur Daniela EDBURG. C'est elle qui explique le mieux son travail : " J'ai commencé à faire une série sur les tricoteurs compulsifs, pour répondre aux sujets qui me fascinent le plus: La capacité de créer et d'auto-destruction, deux desqualités les plus attachantes et la définition de la nature humaine. Maintenant, l'actede tricoter est devenu un élément central de mon travail et à travers la photographieque je parle de mon expérience. Ces personnages me sont chers, ils traitent avec eux-mêmes et avec ce qu'ils ont créé d'une manière très intense. Pour moi, le tricotage peut représenter beaucoup de choses: la création d'un lieu sûr, la créativité, à sa forme la plus élémentaire, une obsession canalisés dans le but de préserver la santé mentale ou une création qui détruit et consomme son créateur, comme le monstre de Frankenstein. J'adore cet endroit où les concepts tournant et se contre disent, le point où les choses se réunir et compléter leur cycle. Si l'oisiveté estle commencement de tous les vices et d'être occupé que c'est la seule distraction, il est possible qu'à un certain point la profession doit elle-même devenue vice.Maintenant, je tricote sans cesse."
lundi 16 mai 2011
Daniela EDBURG
En fouillant un peu sur internet, je suis tombée sur Daniela EDBURG. C'est elle qui explique le mieux son travail : " J'ai commencé à faire une série sur les tricoteurs compulsifs, pour répondre aux sujets qui me fascinent le plus: La capacité de créer et d'auto-destruction, deux desqualités les plus attachantes et la définition de la nature humaine. Maintenant, l'actede tricoter est devenu un élément central de mon travail et à travers la photographieque je parle de mon expérience. Ces personnages me sont chers, ils traitent avec eux-mêmes et avec ce qu'ils ont créé d'une manière très intense. Pour moi, le tricotage peut représenter beaucoup de choses: la création d'un lieu sûr, la créativité, à sa forme la plus élémentaire, une obsession canalisés dans le but de préserver la santé mentale ou une création qui détruit et consomme son créateur, comme le monstre de Frankenstein. J'adore cet endroit où les concepts tournant et se contre disent, le point où les choses se réunir et compléter leur cycle. Si l'oisiveté estle commencement de tous les vices et d'être occupé que c'est la seule distraction, il est possible qu'à un certain point la profession doit elle-même devenue vice.Maintenant, je tricote sans cesse."
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